"Homme libre, toujours tu chériras la mer !"

par **Leif** Lun 11 Fév 2013 - 22:25

De nous,
Sa Grandeur Leif von Dumb de Sparte,
Comte de Sochaux
Vicomte de Chemin, Vicomte de Rochefort sur Nenon et Vicomte de Valentigney,
Fondateur de Talent es Politique et Poète du Beau,
Chef incontesté de la Famille von Dumb.

A vous,
Thomas von Dumb,
Seigneur de Saint-Aubin,
Entre autre Cousin et Vassal,
Et dit le Magnifique par moi-même.

Salut.

L’ensemble de la famille et moi-même avons reçu une correspondance inconnu suite a une attaque en mer de votre personne, sur Arles, nous espérons réellement que la lettre de rassurement que nous avons reçu puissent nous rassurer réellement, ces chiens seront détruit par l'acte divin et par mes services de Corsaire mise au point récemment, donc nous espérons cher Cousin que votre état vitale détient le bon sens de ce rendre bien.
Ainsi que le morale, cela va de soi.

Outre l'incident en mer, nous somme aussi dans la peine du manquement à votre égard et nous espérons vous revoir vite sur le sol de Franche-Comté pour que vous puissiez partager vos aventures de marin en herbe et nous payer à boire par la même occasion.

Alors nous espérons que vous rentrerez vite et que vous serez vite plus proche de nos yeux, à votre retour, il faut savoir qu'il y aura beaucoup de changement et que vous aurez un double des clés personnels de mon fabuleux et grandiose domaine de Sochaux, en plus, vous serez obligatoirement à mes cotés politiquement par la voie vassalique qui nous lie, familial et surtout amicale.

Un voyageur expérimenter vous livrera cette lettre, mon Cousin, et que si vous avez réponse ne prenez aucune hésitation à lui remettre et dans l'attente de vous revoir ou de vous lire, mes pensées vous accompagne.

PS : J'ai décidé par décret Sochalien de vous nommez le "Magnifique" par la grâce qui m'est propre.

Le Onze du mois de Février du règne de l'Empereur Flavien-Charles, dict "Fenthick", Galanodel,
De l’année, Mille Quatre Cent Soixante et Un.

par **Thomas von Dumb** Jeu 14 Fév 2013 - 19:12

À l'attention de Sa Grandeur Leif von Dumb de Sparte,
Comte de Sochaux, Vicomte de Chemin, Vicomte de Rochefort sur Nenon et Vicomte de Valentigney,

Salutations.

À peine viens-je de reprendre connaissance à Arles que je trouvai à côté de moi votre missive. Une fois l'intégralité des évènements vécus par moi-même dernièrement revenus en mémoire, je fus heureux d'avoir des nouvelles de Sochaux. Il est bon pour chacun de se rappeler lors de moments difficiles qu'il a une famille prête à le soutenir et à lui venir en aide. Mon Suzerain, mon cousin, votre missive m'est allée droit au cœur. Et ce titre dont vous me gratifiez égaille les sombres jours que je connais.

Ma remise sur pied nécessitera encore un bon mois, et je me réjouis moi aussi de vous revoir. Cependant, même si ma raison me pousse à rentrer en Franche-Comté, mon cœur réclame vengeance. Je ne puis laisser ces méfaits impunis, comme je ne puis renoncer à récupérer tous mes biens perdus, et à infliger à ces serviteurs du mal le juste châtiment qu'ils méritent.

Mais écrire me demande beaucoup de force, forces que je n'ai pas encore entièrement recouvrées. Je vais donc arrêter ici-même ma lettre afin de pouvoir prendre le repos nécessaire à mon bon rétablissement.

Vous êtes le seul à m'avoir écrit, mais si d'aventure mon sort intéressait qui que ce soit parmi les Dumb, n’hésitez pas à leur faire part du présent courrier ou à l'afficher dans la salle du trône.

Rédigé le quatorze février de l'an de grâce mille quatre cent soixante et un.

Cordialement,

Thomas von Dumb du Val d'Allon

"Homme libre, toujours tu chériras la mer !"

"Homme libre, toujours tu chériras la mer !"

Re: "Homme libre, toujours tu chériras la mer !"