Par un beau jour de février

Par un beau jour de février, Pierre Alexandre décide de partir vagabond dans les jardins de Sochaux.

Il marcha tranquillement et admira les plante encore dormante sous l’astre éternelle qui brille de mille feux. Oui rien ne pouvait mettre d’ombre au tableau. Il n’y avait aucun nuage noir à l’horizon et les cerisé commencent doucement leur floraison de manière précoce.

Pierre Alexandre continua ses découvertes et retourna s’allonger tranquillement au pied d’un arbre pour faire une sieste bien mérité après des joutes éprouvante en Normandie.

Le soleil touchant le visage du jeune homme pour le réchauffé de manière douce et délicate comme le ferai une femme ou une mère envers son fils pendant qu’il écoute la musique du vent et des oiseaux qui gassouille dans l’arbre. Le temps passa il fini par s’endormir doucement pour partir dans les rêves de gloire sur des lices de joute ou à son tour il peut soulever un trophée.

Le temps passe doucement et sereinement dans le monde des songes, mais le jeune homme n’avait pas prévu qu’une ombre viendrai s’abattre sur lui dans le monde réel.

Le jeune blondinet se relève et écoute avec attention la jeune femme et rigole.

Les blonds poussent au pied des arbres quand les brunes moqueuses ne trébuchent pas dessus. Jeune fille, je ne voudrai pas vous manquez de respect, mais votre comportement n’est pas digne d’une dame qui parcourt les jardins de Sochaux. Vous manquez de respect à un homme qui se trouvait dans une position dite confortable bien avant votre présence.

Pierre-Alexandre s’approche de la jeune femme et la regarde dans les yeux.

J’attends sur le champ des excuses pour m’avoir percuté pendant que je rêvassais au pied de cet arbre. Dans le cas contraire, je serai dans l’obligation de vous voler un baissé pour réparer l’outrage que vous avez commis.

Le blondinet commence lentement à tourner autour de la Dame, la déshabille du regard et attend avec patience ses mots qui annonceront forcément la suite d’un débat fortement animé.

Vous savez, j’ai toutes la sainte journée pour vous écouter.

La suivre pour lui donner des réponses, c’est une très bonne idée.

Comment vous faire changer d’avis sur les blonds ? Vous avez déjà une idée des blonds.

Le jeune homme se promène en suivant la jolie brune devant lui et réfléchie tranquillement.

Par exemple, je peux vous dire que les dames romaines de l’époque se paraient d’une perruque blonde pour séduire les héros dans le but d’inimité Aphrodite chez les Grecs et Vénus chez les Romains. La déesse de l’Amour est blonde et épilée

Pierre Alexandre rit de bon cœur devant ses mots pour convaincre la brune.

La chevelure blonde est plus légère et plus aérienne, mais les blonds ne sont pas plus bêtes ou stupides qu’un brun. Nous avons des airs angéliques, mais nous pouvons être démon également.
Je ne pense pas réussir à vous convaincre, car votre esprit refuse mes mots, mais vous savez que j’ai raison.

Le jeune homme, continue de marcher doucement en regardant la nature.

La jeune femme pense qu’il va oublier ses excuses avec un nouveau sujet, mais non. Pierre Alexandre change de sujet en parlant jardin.

Des arbres aux feuillages colorés et aux feuillages légers, tilleurs et de hêtres, Eucalyptus, Taxodium, assure la structure du jardin pour leur forme bien étudiée et leur légèreté. Des massifs très colorés et luxuriants d'arbustes, de vivaces, rosiers, plantés très densément, qui laissent moins de chances aux indésirables de pousser. De belles associations de couleurs, mais aussi de feuillages, de formes et de textures différentes, aux courbes très douces, qui laissent couler le regard de plantes en plantes, les plus rares côtoyant les plus communes ; la pelouse, leur fierté, servant d'écrin au jardin. Des bancs très originaux nous invitent à la rêverie où une Dame brune réinvente sans cesse de nouvelles scènes ; et vous y attend avec plaisir pour un tour de jardin qui se veut pédagogique, et c’est avec enthousiasme que Pierre-Alexandre partagera avec vous sa passion et vous donnera de précieux conseils pour vous aider dans votre jardin pendant qu’il attend des excuses. Pierre-Alexandre n’avait pas grand-chose à faire en ce moment, il avait donc envie de profiter des jardins, ses arômes, son soleil, ses bruits et de sa belle déesse qui se balade en trébuchant sur les blondinets qui se repose doucement.

Le jeune homme continue tranquillement de la suivre en admirant les jardins de son cousin.

Vous m’avez pas dit, vous avez surement un prénom et une raison d’être dans le coin?

Pierre-Alexandre admire autant les jardins que la jeune femme, mais de manière discrète.

Finalement elle avait peut être raison, pourquoi connaitre son prénom ? Alors qu’elle n’avait aucun réel intérêt à ses yeux et que il ne désirait avoir que des excuses …

Vous avez raison, je n’ai pas besoin de connaitre votre petit nom vu que vous n’avez aucun réel intérêt pour moi.

Je ne sais même pas pourquoi, je désirais avoir des excuses de votre part alors que vous semblez avoir une idée prés conçu des blonds et un caractère de merde.

Je ne sais même pas pourquoi je perds mon temps avec vous, alors que des rêveries n’attendent au pied d’un arbre.

Pierre_Alexandre se tourne et prend la direction de coin privilégié, laissant cette jeune femme seule et commence à s’habituer à son absence. Une fois au pied de son arbre, il reprend sa position et commence à flâner dans ses rêves de joute, attendant le couché du soleil pour voler un baissé à cette brune sans intérêt.

Pierre-Alexandre attendit le coucher du soleil pour jouer au méchant loup. Le loup qu’il était avança doucement dans les jardins de Sochaux pour retrouver la jeune fille caractérielle et mystérieuse.

Il avance doucement avec des pas feutrés qui faisaient craquer par moments les feuilles mortes, mais le loup suivait à petits pas le chemin jusqu'à l’ange brun. Il arriva tout près d’elle et il la regard doucement sans faire de bruit avant de l’embrasser doucement avec passion avant de la regarder dans les yeux.

Pierre-Alexandre sourit et répondit

je vous avais dit que j'aurais votre pardon d'une manière ou d'une autre. Vous semblez têtu, mais jamais autant que moi.

Maintenant que j'ai eu votre doux et langoureux pardon, que la nuit se couche, qu'il commence à faire froid, je vais rentrer me mettre au chaud dans les appartements de Sochaux.

Je souhaite, une bonne continuation et surtout de magnifique fantasmant sur se baiser langoureux que vous m'avez généreusement donné.

Pierre-Alexandre, retourne doucement, très doucement vers Sochaux.

Un fantasme, un fantasme... non mais il se prends vraiment pour le plus beau des hommes? j'en avais déjà échangé plus d'un de baiser avec des hommes... je le regarde partir, un sourire affiche naturellement mon visage alors que je laisse glisser mon index sur mes lèvres, il m'avait promulguer une douce chaleur certes pas comme les autres... mais non, non et non cet homme ne pourrait surement pas la satisfaire.

Mon regard ne le lâcher pas,je voulais d'un coup le rejoindre et à mon tour reprendre ses lèvres pour être certaine de ce que je ressentais sous l'effet, savoir si c'est de passage cet douceur que je ressens le long de mes lèvres.

Je me tente doucement l'air de rien, la provocation était peux être la meilleure solution.

Hum, jeune homme j'aurais cru bon que vous soyez plus doué quand même... mais bon.

Je tourne les talons espérant que celui ci veule me prouver le contraire.

Pierre-Alexandre éclata littéralement de rire.

C'est ce qu'elles me disent toutes avant d'en redemander.

Puis s'arrêta pour la regarder

Pierre_Alexandre la regarde partir doucement avant de lui posé une question.

Dame, j'ai une simple question, vous dites être venu accompagné une femme ici et je sais que je dois rencontré ma futur fiancé sous peu. Une certaine Nasarie ou un truc du genre de Savoie

Il attendu la réponse.

Pierre-Alexandre écouta doucement et sourit.

J'espère qu'elle sera comme vous, je ne pourrais pas mourir d'ennuis.

Pierre_Alexandre retourna doucement vers le château de son côté.

Pierre_Alexandre s’arrête et se rapprocha de la jeune femme puis la regarda dans les yeux.

Enchanté Narisa et je ne risque pas de m’ennuies avec une femme comme vous. J’espère que nous arriverons à communiqué de manière plus simple aujourd’hui.

Je savais que mon cousin avait bon gout en matière de femme.

Il continue de la regarder avec tendresse.

Pierre-Alexandre sourit sous le baiser de la jeune femme qui joue ensuite la sauvageonne en partant doucement.

Il ne pouvait pas la retenir plus et il avait enfin eu ses excuses, maintenant il n'avait plus qu'à attendre de la rencontrer officiellement pour etre sûr que c'est bien elle qu'il devra épouser.

Finalement pourquoi embêter son cousin pour un mariage qu'il ne va peut-être pas refuser. Elle avait charmé, de la douceur et un caractère bien tremper. bref une femme parfaite pour un von Dumb.